Au même titre que le marché financier, la fiscalité, domaine des finances publiques, est tiraillée entre deux tendances : une porteuse d'avenir dynamique donc progressiste et l'autre figée dans le temps, réfractaire à l'évolution, statique donc conservatrice. 

 

Les deux visons bullish ou bearish s'opposent mais au-delà de ce rappel au marché financier, ce sont deux visions plus générales qui se font face et qui analysent les difficultés à surmonter de deux manières différentes. 

 

J'aime citer Winston Churchill sur le pessimisme et l'optimisme : "un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité et l'optimiste voit l'opportunité dans chaque difficulté ". 

 

Ceci étant rappelé, il convient de revenir à notre sujet l’impact de la fiscalité susur le marché de l’art. Tout d’abord, nous sommes face à un constat majeur. Le marché souffre d’un un mal : le manque d’acheteurs. Par ailleurs, la définition de l’objet d’art est restée trop longtemps figée. 

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